Mali, 1ère partie...
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Je vous avez quitté au Sénégal dans un village aux alentours de Tambacounda où j'ai passé deux semaines. J'y ais vécus comme tout habitant du village, en mangeant à la main, en prenant ma douche avec un seau d'eau, en dansant lors des fêtes traditionnelles menées par les griots.... Et le fait qu'un toubab se comporte comme ça étonne et ravi souvent les locaux.
Je prends des forces avant de partir pour le Mali car à la frontière ils ne délivrent qu'un visa valable pour 5 jours qu'il faut renouveler à Bamako. Il me faut donc faire 700 km en 5 jours. Malheureusement je fini par tomber malade, à cause de la nourriture je pense, et rouler aussi vite devient impossible. Et c'est là qu'intervient Ousmane Traoré, un ami de mon hôte qui est chauffeur routier (sur la photo ci-dessous), et qui va m'amener jusqu'à chez lui à Bamako. Je passe une semaine chez sa famille (encore photo ci-dessous) et suis baptisé Yann Traoré. C'est ainsi que je me présente maintenant lors de mon avancé au Mali, et comme ça je trouve plein de frères partout!
Parmis les nombreux villages où j'ai passé la nuit, ici, un village Peuls (une des nombreuse ethnies présentent au Mali). Je n'ai jamais besoin de planter ma tente car il y a toujours une petite place dans une case pour les personnes de passage. On partage un repas, je leur fait du thé, on s'amuse à prendre des photos... et je me retrouve à faire la lecture du livre scolaire aux enfants. Un bon moment!
Ici en ce moment tout est vraiment sec et il commence à faire vraiment chaud. Alors pour me rendre ce périple un peu moins dure je me suis vêtu d'un chèche comme les touaregs. Ça tient la tête au frais et ça évite que ma gorge devienne aussi aride que les plaines. Et sur le bord de la route je rencontre un touareg qui se met à me parler en tamasheq croyant que j'étais touareg aussi. Puis quand je lui annonce que je suis français, il m'assure en riant que je me trompe et que je suis bien touareg, apparemment ça se voit à mon nez.


Malgré toute cette sècheresse, il arrive parfois de tomber sur des paysages très vert, comme ici sur la route de Djenné. Le fleuve Niger qui ne se trouve pas très loin fait qu'il y a un petit aire de normandie sur ces quelques kilomètres bien rafraichissants. C'est même ici que mon vélo à décidé de crever histoire d'en profiter un peu plus longtemps.
Puis l'arrivée à Djenné, ville sainte où tout est construit de façon traditionnelle en terre crue. Cette méthode de construction protège de la chaleur (il fait vraiment très frais à l'intérieur) et permet de créer des formes à sa guise. Les rues étroites et sinueuses donnent à cette ville entourée par les eaux une atmosphère très chaleureuse.
La célèbre mosquée de Djenné et son marché très animé.
Je prends des forces avant de partir pour le Mali car à la frontière ils ne délivrent qu'un visa valable pour 5 jours qu'il faut renouveler à Bamako. Il me faut donc faire 700 km en 5 jours. Malheureusement je fini par tomber malade, à cause de la nourriture je pense, et rouler aussi vite devient impossible. Et c'est là qu'intervient Ousmane Traoré, un ami de mon hôte qui est chauffeur routier (sur la photo ci-dessous), et qui va m'amener jusqu'à chez lui à Bamako. Je passe une semaine chez sa famille (encore photo ci-dessous) et suis baptisé Yann Traoré. C'est ainsi que je me présente maintenant lors de mon avancé au Mali, et comme ça je trouve plein de frères partout!
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Parmis les nombreux villages où j'ai passé la nuit, ici, un village Peuls (une des nombreuse ethnies présentent au Mali). Je n'ai jamais besoin de planter ma tente car il y a toujours une petite place dans une case pour les personnes de passage. On partage un repas, je leur fait du thé, on s'amuse à prendre des photos... et je me retrouve à faire la lecture du livre scolaire aux enfants. Un bon moment!
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Ici en ce moment tout est vraiment sec et il commence à faire vraiment chaud. Alors pour me rendre ce périple un peu moins dure je me suis vêtu d'un chèche comme les touaregs. Ça tient la tête au frais et ça évite que ma gorge devienne aussi aride que les plaines. Et sur le bord de la route je rencontre un touareg qui se met à me parler en tamasheq croyant que j'étais touareg aussi. Puis quand je lui annonce que je suis français, il m'assure en riant que je me trompe et que je suis bien touareg, apparemment ça se voit à mon nez.


Malgré toute cette sècheresse, il arrive parfois de tomber sur des paysages très vert, comme ici sur la route de Djenné. Le fleuve Niger qui ne se trouve pas très loin fait qu'il y a un petit aire de normandie sur ces quelques kilomètres bien rafraichissants. C'est même ici que mon vélo à décidé de crever histoire d'en profiter un peu plus longtemps.
Puis l'arrivée à Djenné, ville sainte où tout est construit de façon traditionnelle en terre crue. Cette méthode de construction protège de la chaleur (il fait vraiment très frais à l'intérieur) et permet de créer des formes à sa guise. Les rues étroites et sinueuses donnent à cette ville entourée par les eaux une atmosphère très chaleureuse.
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La célèbre mosquée de Djenné et son marché très animé.
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